samedi 24 mai 2014

[All-New Marvel Now] Black Widow #6

Black Widow #6 
Paru en Mai 2014
Scénario de Nathan Edmondson
Dessins et couleurs de Phil Noto


Fin de l'arc qui oppose Black Widow à son vieil ennemi l'homme indestructible (ou un nom du genre) et plus globalement fin de ce qui correspondra au premier TPB de cette série. Après avoir montré Black Widow en difficulté et l'avoir amené dans une sacré situation d'échec en fin du dernier numéro (elle était capturée par son ennemi), Edmondson nous montre dans ce numéro comment elle va se sortir de ce mauvais pas. Et comme je le disais pour le précédent numéro, le problème est que le duo d'auteurs ne sont pas hyper forts pour les séquences d'actions et de baston. Phil Noto est un peu brouillon et manque d'impact dans ces séquences, et Edmondson oublie un peu d'épicer tout ça. Il y a des rebondissements dans les combats, mais rien d'incroyable, et on ne voit jamais les adversaires qui font face à Black Widow comme de vrais dangers. Bref, c'est un peu plat, et la résolution de cette séquence l'est tout autant. Ça se lit tout à fait correctement, mais ce n'est pas passionnant.

Par contre, la suite du numéro l'est bien plus. Déjà, on renoue un peu avec les ambiances des premiers numéros, on revoit un peu le supporting cast et c'est vraiment une bonne chose. Le passage avec Hawkeye est aussi très drôle, et la future recherche d'alliés pour Black Widow risque d'être intéressante (surtout qu'on risque de voir Daredevil le mois prochain, chouette !). Le passage au S.H.I.E.L.D. pose lui aussi des intrigues futures et j'ai hâte d'en savoir plus de ce côté là.

Bref, un numéro qui termine sans fioritures le premier arc et qui pose des bases très intéressantes pour la suite de la série qui renoue en même temps avec la très bonne ambiance des débuts. Aux dessins, Phil Noto assure toujours, et n'est ps remplacé pour le moment, ce qui est vraiment une bonne chose. Il est moins efficace dans les bastons que pour le reste, mais ça reste très agréable à l'oeil. 

Ma note : 





Et tiens, pour conclure la critique, le lien vers une analyse, en anglais, de ce premier arc (merci à Cosmos pour le lien)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire